Titre : |
Ados amor, un autre regard |
Type de document : |
document projeté ou vidéo |
Auteurs : |
François STUCK, Auteur |
Editeur : |
Zharina Khan productions (prod.) |
Année de publication : |
1998 |
Autre Editeur : |
CNC (éd.) |
Collection : |
Images de la culture |
Importance : |
1 DVD (28 min) : coul. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Culture, information:Culture:Expression culturelle:Art:Littérature:Atelier d'écriture Culture, information:Culture:Expression culturelle:Art:Théâtre Culture, information:Culture:Politique culturelle:Action culturelle Société, vie sociale:Publics:Génération issue de l'immigration Société, vie sociale:Publics:Jeune Société, vie sociale:Relation sociale:Intégration Urbanisme:Banlieue
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Mots-clés : |
ados amor un autre regard région : Ile-de-France département : Val-de-Marne commune : Blanc-Mesnil documentaire |
Résumé : |
Sorti en salle en 1998, "Ados amor", premier long métrage de Zarina Khan, coréalisé avec François Stuck, raconte la vie au quotidien d'une vingtaine d'adolescents au Blanc-Mesnil. Il est le fruit d'un atelier d'écriture et de pratique théâtrale initié par la réalisatrice en 1995 avec deux classes. ""Ados amor", c'est l'espoir de devenir soi-même", résume Zarina Khan, dans ce "making of" qui nous présente les principaux protagonistes. Zarina Khan a débuté l'atelier par la question : "Qu'est-ce qui est le plus important pour vous ?" A l'écriture ou en improvisation, les ados ont nourri le scénario de leurs propres histoires : violence, racisme, inceste, amour... Mais, "il n'y a pas plus de violence dans "Ados amor" que dans la vie", commente la réalisatrice. Damir, arrivé de Bosnie, s'intègre à l'équipe ; Lucien Ducastel, ancien déporté, vient témoigner pour une séquence où il est question d'un devoir sur la Seconde Guerre mondiale ; Chris, qui vient de perdre son frère dans un accident de voiture, a du mal à jouer la scène d'un cortège funèbre. Les financeurs du projet, élus du service jeunesse de la ville et interloculteurs de l'inspection académique, témoignent de l'importance et de la réussite de l'opération. "Je ne savais pas la chance que j'avais d'aller à l'école, dit Meidi, je ne vais plus la gâcher." Et Karima pourrait conclure : "Je sais maintenant que, quand je commence quelque chose, je peux le terminer." ( Marc Guiga, CNC-Images de la culture) |
Permalink : |
http://biblio.reseau-reci.org/index.php?lvl=notice_display&id=20459 |
Ados amor, un autre regard [document projeté ou vidéo] / François STUCK, Auteur . - : [S.l.] : CNC (éd.), 1998 . - 1 DVD (28 min) : coul.. - ( Images de la culture) . Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Culture, information:Culture:Expression culturelle:Art:Littérature:Atelier d'écriture Culture, information:Culture:Expression culturelle:Art:Théâtre Culture, information:Culture:Politique culturelle:Action culturelle Société, vie sociale:Publics:Génération issue de l'immigration Société, vie sociale:Publics:Jeune Société, vie sociale:Relation sociale:Intégration Urbanisme:Banlieue
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Mots-clés : |
ados amor un autre regard région : Ile-de-France département : Val-de-Marne commune : Blanc-Mesnil documentaire |
Résumé : |
Sorti en salle en 1998, "Ados amor", premier long métrage de Zarina Khan, coréalisé avec François Stuck, raconte la vie au quotidien d'une vingtaine d'adolescents au Blanc-Mesnil. Il est le fruit d'un atelier d'écriture et de pratique théâtrale initié par la réalisatrice en 1995 avec deux classes. ""Ados amor", c'est l'espoir de devenir soi-même", résume Zarina Khan, dans ce "making of" qui nous présente les principaux protagonistes. Zarina Khan a débuté l'atelier par la question : "Qu'est-ce qui est le plus important pour vous ?" A l'écriture ou en improvisation, les ados ont nourri le scénario de leurs propres histoires : violence, racisme, inceste, amour... Mais, "il n'y a pas plus de violence dans "Ados amor" que dans la vie", commente la réalisatrice. Damir, arrivé de Bosnie, s'intègre à l'équipe ; Lucien Ducastel, ancien déporté, vient témoigner pour une séquence où il est question d'un devoir sur la Seconde Guerre mondiale ; Chris, qui vient de perdre son frère dans un accident de voiture, a du mal à jouer la scène d'un cortège funèbre. Les financeurs du projet, élus du service jeunesse de la ville et interloculteurs de l'inspection académique, témoignent de l'importance et de la réussite de l'opération. "Je ne savais pas la chance que j'avais d'aller à l'école, dit Meidi, je ne vais plus la gâcher." Et Karima pourrait conclure : "Je sais maintenant que, quand je commence quelque chose, je peux le terminer." ( Marc Guiga, CNC-Images de la culture) |
Permalink : |
http://biblio.reseau-reci.org/index.php?lvl=notice_display&id=20459 |
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